Miséricorde (2011)

De Jussi Adler Olsen 

Un prologue choc ouvre le livre : la vision d’une femme enfermée, luttant, cherchant à s’échapper. Pourquoi? Comment? Que lui est-il arrivé? On ne sait pas. On veut savoir. Pas de temps mort.

Nous sommes en 2002, Merete Lyyngaard est une jeune vice-présidente du parti démocrate danois, promise à un brillant avenir. Elle disparaît sur un ferry alors qu’elle revenait de vacances avec son frère handicapé. La police n’ayant aucun indice conclu qu’elle s’est noyée et finit par classer l’affaire sans poursuivre les recherches.

Cinq ans plus tard, le commissaire Carl Morck, rongé par la culpabilité à la suite de sa dernière enquête qui a mal tourné, se retrouve « promu » à la tête du tout nouveau Département V. Il s’agit du service responsable des  affaires non résolues. Pour l’aider dans cette tâche, le commissaire Morck se voit confier un assistant syrien,  véritable homme à tout faire. Contre toute attente, il se révélera en fait un partenaire fort efficace.

Morck décide de rouvrir l’enquête sur la disparition de la jeune démocrate.

L’auteur alterne le récit de l’enquête et celui de la disparue. À travers le récit  de la jeune femme, nous comprenons qu’à tous les ans, entre 2002 et 2007, à sa date d’anniversaire, son tortionnaire psychopathe augmente la pression…

Prix du meilleur polar scandinave.
Une découverte de cet été : à la fin, j’ai ressenti des frissons et j’ai pleuré!
On vit les divers rebondissements avec les principaux personnages.
L’auteur joue avec nos nerfs.
Un grand roman à suspense, un excellent thriller politique exaltant vous attend!

Sylvie Brazeau
Sy.Brazeau@cgodin.qc.ca

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Miséricorde : [la première enquête du département V]PT 8176.1 D54 K8514 2011